Vous avez une maison à Saint-Macaire-en-Mauges à vendre ? Le savez-vous ? Les Français évitent les habitations trop énergivores et prêtent une grande attention au DPE (diagnostic de performance énergétique) des biens immobiliers lors de leur recherche immobilière. 72 % déclarent désormais que le DPE est un critère prépondérant dans l’achat d’un bien.
Alors, les Français essayent-ils de réduire l’impact de leur logement sur l’environnement ?
Oui et, selon une enquête « Les Français et les économies d’énergie » mise en place par Immonot au mois d’avril, un peu plus de trois personnes sur cinq déclarent avoir déjà effectué des travaux d’économie d’énergie et 13 % comptent en faire plus tard.
Selon les données récoltées par Immonot, 50 % des sondés pensent que les dispositifs visant à améliorer les performances énergétiques des logements doivent être basés sur l’incitation, à l’image de ce que peut faire actuellement le gouvernement en encourageant, par exemple, les ménages à réaliser des travaux d’économies d’énergie avec l’isolation à 1 euro. Cependant, ils sont également beaucoup à penser que ceux-ci doivent être basés sur l’incitation et la contrainte (47 %).
Des gestes écoresponsables rapides et faciles
Mais alors pourquoi les Français maîtrisent-ils leur consommation d’énergie ? Pour 47 %, le but premier est de faire des économies, vient ensuite la préservation de la planète avec 33 %.
C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’ils pratiquent toujours ou souvent certains gestes écoresponsables chez eux, par exemple : éteindre la lumière dans les pièces inoccupées (97 %), faire fonctionner le lave-linge ou le lave-vaisselle seulement lorsqu’il est plein (96 %) ou encore préférer les douches aux bains (96 %). Ce sont des gestes faciles à instaurer dans le quotidien. Ils n’engagent pas de coûts supplémentaires contrairement à ceux qui sont rarement voire jamais pratiqués, comme utiliser des outils domotiques pour la gestion de l’énergie (77 %) ou récupérer l’eau de pluie (49 %).
Ce sont des gestes qui sont effectués par habitude (55 %) pour certains, et par nécessité (38 %) pour d’autres.
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